[RP] Devant les portes.

Passant devant la grande grille, Sakurachi aperçu un visage qui ne lui était pas familier.

Konnichi wa Onna no ko! Etes-vous perdue? Je suis Sakurachi, ravie de vous rencontrer. Vous venez rendre visite à quelqu'un? Dit la petite blonde en souriant.

Hasuna regarda Yumia comme sa sauveuse, elle trouvait la jeune femme qui l'avait accueillis très agréable, et gentille, mais son éducation, la fit se sentir gênée. Etre cachée tous ce temps, n'aide pas a la lumière.

Je suis désolée d'avoir déranger autant de monde, Konnichi wa Sakurachi-san, je m’appelle Hasuna, oui je viens voir Yumia qui m'as si gentiment invitée. J'espère ne pas déranger, elle voulait me présenter aux gens qui compte pour elle a son clan. Je suis sa cousine.

Elle était rouge de gêne et baisse les yeux en disant cela.

Hasuna encore surprise de voir quelqu'un d'autre se précipiter, se demanda si c'etait bien pour elle tous ces honneur? Portez ces affaire? il y avait des choses personnelle dedans mais une vie qu'une fois se dit elle.

Konnichi wa Monsieur c'est un grand honneur que vous me faite en venant me saluer. Oui je veux bien ca commence a peser, mais je ne voudrais pas me montre impolie je me nomme Hasuna.

Elle le salua en baissant la tête et en rougissant de son audace, elle avait osée dire oui pour ce genre de chose pour la première fois de sa vie.

Je n'ai pas grand chose, mais je vous remercie de votre gentillesse.

Puis revenant a sa condition lança un regard désespéré vers sa cousine, elle était perdue, elle n'en avait pas l'habitude. Que devait elle faire misère de misère ?

Hasuna n'avait jamais été reçue de la sorte, et cela l'enchante. Elle ne comprenait pas tout, elle qui avait grandit avec son précepteur, caché de son identité réelle, jusqu'au dernier jour de celui ci. Elle c'etait mis en quête d'une famille qu'elle pensait a jamais perdue.
Mais le destin est parfois, curieux.

Je tiens a vous remercier pour toute cette gentillesse, cela réchauffe mon cœur. Vous voulez chantez Usui san? Faite donc quelle est la dernière chanson a la mode ici?

Elle sourit mais est ce que les autre la voyait a force de vivre la tête baissée il n'est pas facile de la relever, elle le petit cochon.

puis s'adressant à sa cousine:

Oui c'est beaucoup d'émotion et de route, je préférerais en effet me reposer du moins un peu, mais nous irons en gargote plus tard, promis Sukarachi, avec bien sur l'autorisation de Yumia san.

la voila qui suit l'infirme et Usui qui a l'air de chanter.

Se dirigent sur la pointe des pieds, elle s'arrêta d'un coup lorsque Haayato-san nomma son nom. Un sourire crispé, mais avec un rire qui l'amusais.
-On dirait bien qu'il me faut encore de la pratique coté espionnage. Dit-elle en regardant Haayato-san en rigolant. Un sourire vers son père, si Haayato-san l'avais vue, il étais clair qu'il l'avais entendu, depuis son jeune âge elle n'avais jamais réussi a le surprendre malgré ses yeux perdu.

S'inclinant devant la femme;
-Je suis Hosokawa No Sakie, dernière fille de Hosowaka no Ace. Mais ont me surnomme souvent ''petite princesse Hosokawa''.
-Un plaisir de vous rencontré, après avoir entendu parlé de vous. dit-elle en se relevant et souriant comme a son habitude.

- Peut-être qui sait, Otou-sama proclame avoir plusieurs enfant dont il ne connais pas vue ses nombreuses sortie nocturne dit-elle en toussant, comme si elle n'avais rien dit, un sourire amusé sur le bord des lèvres.
-Mais je peu vous confirmé qu'il y a bien un frère et une sœur qui son connu de ça descendance!  Onee-san est disparut depuis quelque temps, mais Onii-san est avec nous! plutôt distrait par contre en général, tel en fantôme il se promène dans les mur de cette forteresse sans que personne ne le vois et l'entend. Si vous le voyez, fait moi signe! je pratique mes talent d'espion, il serais un bon appât contrairement a père qui ne fais qu'être dans la réserve de Saké.... Dit-elle en rigolant

La petite princesse hosokawa pouffe de rire en voyant la réaction de son père

-Moi aussi je t'aime Otou-sama!!! dit-elle en lui envoyant la main comme une gamine trop heureuse

Bonjour... On m'a dit de venir ici pour retrouver mon amie. Elle m'a ecrit qu'elle allait retrouver son frère et puis plus de signe de vie. Je veux m'assurer qu'elle va bien. J'ai le nom de son frère sur une lettre, Yato qu'il s'appelle. Quelqu'un le connaît?

Maika avait été appelé en urgence aux portes, une jeune femme désirait rencontrer Yato se disant une amie de sa soeur. Comme pour tous la Gouvernante se devait de contrôler le tout avant d'autoriser qui que ce soit à pénétrer dans le domaine de son maître. On pouvait dire en quelque sorte qu'elle était la chef de la sécurité.

Konnichi wa, je suis Maika la gouvernante du domaine de Kitaeru no Yato. Si vous voulez bien je vais vous conduire à sa demeure afin de pouvoir en discuter avec lui.

Après un signe aux gardes la jeune femme partie en direction du domaine, vérifiant tout de même que la visiteuse la suivait.

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Usui qui s'empressait de suivre sa gouvernante vers les portes du domaine pour aller accueillir la jeune dame. Il se tenait bien droit derrière sa supérieure hiérarchique, s'assurant de ne pas être dans son champ de vision, car il savait qu'elle en avait horreur. Sa mission était de transporter les effets personnels de la damoiselle qui semblait venir de loin. Il devra certainement lui préparer une chambre pour les déposer.

Usui, pour vous servir. Il s'inclina, sans savoir de qui il s'agissait.

Oui je vous suis.

Bahyoza prend le temps de préparer ses affaires, un rapide coup d'oeil à sa modeste habitation le fait sourire.

*Voyons que prendre..à vrai dire rien. Je laisse tout ici, il vaut mieux garder un pied à terre en cas de besoin.*

Le chemin jusqu'aux portes du château se fait dans le plus grand silence, malgré le fait qu'il ai quelques compagnons de route. Des marchands, des villageois qui prennent la route pour chercher du travail dans d'autres villes de la région. Au moment où Bahyoza aperçoit le château, il fait un signe de tête à chacun et arrive aux portes.

J'ai été mandé.

Il présente le message qu'il a reçu. Les gardes lui font signe d'attendre un instant.

Le seigneur des lieux va te recevoir.